Lac de Montbel

Edito astro-énergétique : « en Juillet je lève le pied…et je prends la Vie du bon pied ! »


Nous venons de passer la Nouvelle lune dans le signe du Cancer, le 29 juin dernier. Le Cancer, signe d’Eau, éminemment sensible et intuitif, est davantage motivé par les relations familiales et le foyer, le bien-être -le sien et celui de ses proches- les plaisirs simples et sensuels au contact de la
Nature, plutôt que par l’apprentissage de milliards de connaissances acquises à travers les livres et les expériences dans le monde extérieur, correspondant à la nature et à la curiosité insatiable du signe précédent des Gémeaux …
Ce mois-ci, il s’agit de se recentrer et laisser faire, se laisser aller à la douceur et à la tendresse pour arroser les graines semées lors du printemps, qui seront moissonnées en automne, sous la protection de la Déesse Déméter (voir le stage du 23-24 juillet à Alet-les-Bains).
L’invitation est de revenir à soi, à l’amour de soi, dans son corps et écouter ses besoins. Ecouter ce petit enfant qu’on a été un jour dans le ventre maternel, bien au chaud, protégé. Puisque le signe du Cancer réfère à ces eaux matricielles, nous avons un mois pour renaître en ayant plus clairs nos propres besoins et désirs par rapport aux besoins et aux désirs de nos ancêtres, notre lignée que nous avons parfois endossée – symboliquement et physiquement- sans nous en rendre compte, simplement en héritant notre ADN…et notre culture…
En juillet, après avoir passé nos examens, intérieurs et extérieurs en juin, nous sommes invités à lever le pied et à oser prendre du plaisir sans culpabilité, à nous autoriser à jouer, tout en répondant à notre besoin de sécurité matérielle et relationnelle. Ce peut être un mois de déménagement si nous trouvons que nous ne sommes plus à notre place et que nous avons besoin d’une nouvelle maison…Un mois de tri dans nos relations.
En résumé, le signe du Cancer nous appelle à devenir une « bonne mère » pour soi. Que l’on soit une femme, ou un
homme…A passer moins de temps à travailler et plus de temps à nous reposer et à nous détendre avec nos proches.
Quand j’étais petite, nous partions camper trois semaines en juillet, et cette aventure estivale faisait office de parenthèse enchantée où les règles trop rigides à mes yeux rendant le quotidien ennuyeux et sans saveur, faisaient place à plus de souplesse, avec des colliers de bonbons, des sorties au restaurant, des parties de pétanque et des couchers plus tardifs, des rencontres amicales, plus de rires, de goût salé de partages, et de permissions…Le retour entre quatre murs était rude, comme un « retour en prison », après avoir pu enfin respirer et jouer. Retrouver le lien avec ma soeur, mes parents, distendu pendant l’année…Comme un idéal de vie de famille, qui me guide encore aujourd’hui et dont je garde la nostalgie chaque début du mois de juillet…
Laurence David, accompagnatrice en Bien-Etre et Créativité

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